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La géobiologie intégrative

19 Mar. 2021

Une approche révolutionnaire

Introduction

La géobiologie intégrative s’est révélée suite aux recherches menées ces quatre dernières années avec entre autre Stéphane Cardinaux et Catherine Martin.

Cet adjectif m’est apparu en ce début d’année 2019, avec pour objectif : redéfinir l’art de la géobiologie, lui redonner ses lettres de noblesse et se démarquer des courants de géobiologie traditionnelle parfois trop tournés vers l’extérieur.

De mon côté, je m’efforce aujourd’hui à partager les connaissances et le savoir-faire de la géobiologie bioénergétique, lors de mes stages, formations et sorties.
Je prends l’initiative ici de déposer une esquisse du manifeste de ce que sera la géobiologie de demain.

Les recherches qui ont accompagné l’émergence d’une machine quantique ont précisé les concepts abordés ci-dessous, car il a fallu que nous acceptions de changer notre vision de la réalité pour pouvoir utiliser cette appareil à bon escient. Cet élan a ouvert la voie vers de nouvelles dimensions d’explorations et de nouveaux paradigmes de pensée.

Puisse cette pratique trouver son chemin grâce à des praticiens conscients, responsables et engagés.

Un peu d’histoire

  • Depuis les temps reculés : l’art de la sourcellerie et des bâtisseurs. Les lieux de cultes sont implantés sur des endroits particuliers qui semblent être des points de rencontre d’énergies.
  • -> début 20ème : rhabdomancie (rhabdos, la baguette et mantela, la divination)
  • 29 décembre 1929 : radiesthésie (radius, rayon en latin et aisthesis, sensation en grec) créée par l’abbé Bouly
  • Première moitié du 20ème siècle : découvertes des réseaux telluriques, par les docteurs et chercheurs Hartmann, Peyré, Curry.
  • Depuis les années 30 : géobiologie radiesthésique (baguettes, pendules, antenne de Lécher, lobe antenne). Les célèbres Alfred Bovis, Georges Pratt, Blanche Mertz, Jacques Bonvin en sont issus.
  • Fin des années 90 : technique de mesure du biochamp (ou champ vital) issue des recherches de Stéphane Cardinaux sur le corps énergétique. Cette technique permet de se passer des outils et offre la possibilité de mesures comparables et reproductibles d’un individu à l’autre, puisque les variations du biochamp s’expriment en pourcent et non plus en unité Bovis. C’est ainsi qu’est née la géobiologie bioénergétique enseignée par son créateur jusqu’en 2018. Cette approche inédite et remarquable fait le tour du monde.
  • 2015 – 2019 : Stéphane Cardinaux et Catherine Anae Martin s’interrogent sur l’effet des fréquences sonores sur le corps et élaborent une structure qui détermine, pour chaque fréquence, l’impact corporel et psychologique. Paraît le livre Structures vibratoires et en parallèle, naît alors une machine quantique révolutionnaire de géo – biorésonance, qui permet d’observer la signature vibratoire d’un corps, d’un objet ou d’un lieu. Totalement inédit : la machine propose des phrases calibrées uniquement sur le ressenti du corps, qui permettent une interprétation psycho-corporel de l’objet mesuré.
  • 2018-2019 : Emergence de la géobiologie intégrative.

Une conception globale et holistique

La géobiologie, littéralement “l’étude de la vie sur terre” est pour moi un art, une philosophie.

Aujourd’hui, la géobiologie traditionnelle se cantonne principalement aux nuisances de l’habitat : failles, courants d’eau, lignes telluriques, entités, électricité, … Le géobiologue se veut sourcier ou ghostbuster infatigable, qui, à coup de grands gestes ou de prières, tente d’améliorer un peu notre existence.
Alors qu’en réalité le praticien géobiologue peut apporter un éclairage beaucoup plus vaste sur la conception de notre monde.

Dans ma conception de la géobiologie intégrative, le praticien éclaire notre réalité quant aux liens entre tous les plans, de la matière physique, en passant par les aspects énergétiques, psychologiques et spirituels.
Ainsi le praticien éclairé préfère-t-il une approche humaniste. Plus il explore le monde, et avant tout son propre monde intérieur, plus il est capable de guider avec bienveillance, et avec les outils appropriés, les personnes qui le sollicitent.

Intégrative, ça veut dire quoi ?

L’adjectif a été emprunté au monde de la psychologie. Intégration vient du latin integer, qui signifie entier, pur. Le verbe integrare, quant à lui, désigne le processus de rendre complet, entier.
En psychologie, il s’agit “d’ une pratique unifiante qui répond de façon appropriée et effective à la personne sur les niveaux de fonctionnement affectif, comportemental, cognitif et physiologique et adresse également la dimension spirituelle de la vie.”

Ce qui différencie la géobiologie intégrative de la psychologie ? Le support de lecture du psychisme de la personne est constitué par son lieu de vie.

But premier : permettre une prise de conscience et un dépassement d’une problématique, afin que le consultant puisse s’approprier le processus de transformation, et par conséquent, l’intégrer.

L’essence de la géobiologie intégrative

  • Un monde de résonances et de projections

En géobiologie intégrative, les phénomènes observés et ressentis dans la maison ne sont plus considérés comme séparés des habitants. Ces énergies sont perçues comme des fréquences vibratoires engrammées dans la matière, sur lesquelles nous projetons mentalement une forme issue de notre monde imaginaire. A travers le ressenti du corps et par le biais de la sphère émotionnelle, la partie du cerveau qui nous permet d’accéder à l’imagination propose une série de motifs, de couleurs, d’attributs symboliques qui permettent de décrire plus ou moins précisément l’énergie captée. Nous appelons cela les projections. Nous en produisons en permanence avec tout ce qui nous entoure, accompagné de jugements de différentes formes et polarités.

Ce qui existe en réalité, c’est la résonance qu’il y a entre l’objet ressenti, visible ou invisible, et les occupants. Il s’agit donc, en premier lieu, d’une relation entre l’objet et les personnes.
L’énergie captée à l’extérieur par le praticien est en fait une mise à distance psycho-énergétique d’une problématique de l’occupant.

C’est pour cette raison que le praticien sera d’autant plus adéquat s’il a pu aborder ces questions dans un travail personnel régulier.

  • Notre relation avec le lieu

Nous projetons sur notre lieu de vie tout notre système intérieur, personnel et psychologique et nous en imprégnons tous les recoins avec notre manière de voir la vie, qui se traduit dans le plan physique par l’arrangement décoratif et l’ameublement et dans les autres plans par les ambiances. En partant du postulat que les objets ont une signature vibratoire émise à travers l’onde de forme, cela engendre tout un réseau de connexions entre soi et le lieu. Ce sont ces entrelacements que capte le praticien averti.
Le praticien en géobiologie intégrative prend en compte ces paramètres et fait lui-même le chemin vis à vis de son propre lieu.

  • Le lieu, miroir de l’intimité

Dès qu’on entre dans une maison, on s’immisce dans l’intimité des occupants. Le praticien se retrouve au cœur des enjeux relationnels, dont les informations, comme on vient de le voir, imprègnent l’espace tout entier.
Cet espace personnel est le miroir de l’intériorité des occupants et savoir observer et ressentir cet espace, c’est aller à la rencontre de leur univers intérieur, teinté de la dualité, à la fois sombre et magnifique.
Lorsqu’on est appelé en tant que praticien, les occupants n’ont pas une idée très claire du chemin intérieur à parcourir pour retrouver leur réel besoin de fond. Ils ont simplement l’intuition qu’avec de la magie quelque chose pourrait se résoudre. Ils ont un désir en surface, mais ne connaissent pas – encore – leur aspiration profonde, qui se situe toujours dans la sphère de leur inconscient.
Si le praticien géobiologue ressent une âme en peine dans la maison, il est conscient que cette énergie est uniquement la manifestation subtile de leur propre part d’âme en errance et en quête de sens. Faire passer l’âme en peine signifie, symboliquement, amorcer le mouvement vers une transition intérieure et personnelle inhérente à l’occupant.
Aussi, lors d’une intervention en géobiologie intégrative, le praticien a conscience qu’il ébauche une démarche psychothérapeutique, avec toute l’humilité, le respect et la bienveillance que cela implique.
Ce qui aide par dessus tout à soutenir l’intervention, c’est la connaissance et l’expérimentation personnelle des grands principes symboliques du voyage du héros.

Faisant référence au Grand Oeuvre de l’Alchimie, Carl Gustav Jung explique que ce que l’on modifie à l’extérieur modifie l’intérieur et ce qui change le “microcosme” modifie aussi le “macrocosme” et inversement.

Objectif

Retrouver l’accès à son potentiel

Dans l’approche de la géobiologie intégrative, ce n’est plus le praticien qui fait le travail et qui chasse l’âme en peine ou la charge de colère. Au contraire, il encourage les consultants à passer à l’action, tant physiquement qu’émotionnellement. Il les guide, vers un chemin intérieur, à travers la symbolique que constitue pour eux la maison. Il redonne du sens à l’expérience et permet ainsi aux occupants d’accéder à leur créativité et de développer leur plein potentiel. Il ne les rend pas dépendant de lui, mais au contraire, leur donne les clefs de leur propre autonomie. La véritable magie, ce n’est pas le pouvoir impressionnant du géobiologue. La magie, c’est la transformation et la transmutation qui amènent les occupants à grandir en conscience. Le praticien peut parfois apporter son aide magique, quand il s’avère que la personne a momentanément besoin d’un coup de pouce, mais il a conscience que quoi qu’il fasse, c’est toujours la part d’autoguérison de la personne qui fait le travail et jamais lui-même. Il n’est qu’un intermédiaire, un passeur d’informations, un mentor qui aide, le temps d’une rencontre, le consultant à s’approcher petit à petit de l’autre rive.

Les outils de détection

La radiesthésie et la kinésiologie

L’art de la radiesthésie et la kinésiologie est utilisée uniquement pour questionner des listes précises et recevoir une réponse oui ou non. Son corps est entraîné à ces techniques reconnues. En géobiologie intégrative, les cadrants disparaissent.

La bioénergie

L’art de la bioénergie est précieuse pour mesurer le champ vital, l’axe horizontal, vertical et latéral. Il permet de savoir sur quel(s) plan(s) se trouvent les problématiques, et détermine leur intensité.
Le clair ressenti est développé et entraîné afin de nommer précisément les phénomènes présents et là où ils agissent dans le corps.
La clairvoyance et/ou la clairvision sont présents pour donner une forme, une image aux énergies captés, afin d’y apporter du sens et de raconter une histoire.
La clairaudience offre au praticien l’écoute sensible et la capacité d’entendre entre les mots.

Les machines quantiques

Certains appareils viennent aujourd’hui confirmer les théories sur la résonance et les projections. En captant l’énergie d’une maison, l’on découvre immédiatement que les fréquences qui sont mises en évidence correspondent au vécu des occupants. Et en captant la signature vibratoire des occupants, nous y décèlerons les traces que laisse le lieu en eux.
Tout est imbriqué et même le praticien géobiologue qui observe prend part à la danse de résonances qui s’opèrent dans l’espace analysé.

Les outils de transmutation

La constellation

Emprunté au principe des constellations familiales (Hellinger) ou de la théâtralisation de l’arbre (Jodorowsky), ce principe systémique essentiel permet de comprendre les enjeux cachés des dynamiques relationnelles et offre également des outils simples pour faire travailler les occupants, de manière aisée et ludique.

La symbolique, le voyage du héros et les principes alchimiques.

Ces trois dimensions sont essentielles, car sur eux repose tout l’art de parvenir à une transmutation et un changement de paradigme. Ils sont la porte d’accès aux grandes lois qui constituent l’architecture de l’Univers. Les archétypes, la lumière, le champ quantique, la matrice, les 4 éléments sont des concepts qui y trouvent leur source.

Les états modifiés de conscience (EMC) et l’hypnose

Le praticien connaît le principe des EMC, est capable de s’immerger lui-même dans un EMC et sait guider les occupants pour y parvenir si nécessaire lors d’une visualisation ou d’un voyage intérieur guidé.

Harmonisation vibratoire

Grâce au principe de géo – biorésonance, il est possible de choisir des fréquences correctrices et de les émettre grâce à un petit émetteur à ondes scalaires (BFS), afin de soutenir la démarche.

Liens :

Laurent Gachoud
Praticien, consultant, formateur & chercheur en géobiologie intégrative
Bioénergéticien